Wednesday, July 12, 2006

Parc d' Enghien 7/1



Description à ma façon simpliste et peu savante du monument: Sur une base de maçonnerie en pierre bleue, très soigneusement appareillée, sept couples de colonnes jumelées deux à deux, unies pour le meilleur et pour le pire, en leur haut par une superbe coquille, esprit très 17 eme siècle. Leur base carrée laisse passer un rien de lumière ( deux à trois millimètres) ce qui sert à la lecture de l' horloge solaire du batiment. La géométrie cachée en ces lieux me semble très complexe, sur ce point je reste silencieux.
Ces colones jumelées suportent sept arcs en plain cintre. Hors mis mes innombrables fautes d' or -teau-grafe, ils ont joué de virtuosité pour dissimuler les moyens incontournables, nécéssaires, pour annuler les poussées des sept arcs. Ces dits arcs surmontés de fenestrons, idéals pour loger des bustes, feminins si possible. Le fenestron au dessus de l' accès au kiosque peut s' ouvrir, et dans le passé un escalier escamotable dissimulé au sol, permettait d' accéder à une plate - forme sur le toit. La reconstitution de cet accessoire aurait été une érreur, vu les exigences débiles de sécurité modernes, sans parler des installations électriques envahissantes qui endommagent et enlaidissent légions de monuments.
Le tout entouré d'un superbe bassin ceinturé d'une ballustrade massacrée en 1944. Les balustres en pierre bleue étaient scéllées au plomb. j' en ai compté plus de cinq cent. Un petit chemin pavé de petites pierres de grès sur le pourtour, achève le tout. Un accès de bonne largeur mène au pavillon ou à l'entrée de chaque côte de l'escalier, une charmante créature féminine, avec corps de lion, assurent l' acceuil , belle tête, beau décoleté, le reste du corps: lion. Je leur trouve un petit aspect POMPADOUR.

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