Wednesday, June 16, 2010

Culture a casser, cacher

Culture à casser cacher: Pigmalion de Jean Philippe Rameau, mini opéra d'une rare beauté est une fois de plus affublé d'une mise en scène à rester aux chiottes.
le livret que je décrit sommairement, raconte l'histoire d'un sculpteur qui non content des femmes de son époque, décide de sculpter la Femme idéale, si bien que la statue prends vie, et et à un enfant.
J'ai déjà décrit ce scénario, accompagné d'une musique de plus en plus belle pour éclater en beauté à la fin.
William Christie chef d'orchestre baroque de talent, devenu célèbre a tendance à déraper dans le mauvais sens.
A Paris (Rosny sous bois) j'ai assisté avec Janine au premier rang de l'Église a un concert, Monteverdi "le Gira" l'ennemi insidieux se glisse. L'ennemi en fait c'est la Femme, qui veut conquérir le coeur du bien aime, coeur comparé à une forteresse, la Femme est comparée à un guerrier.
Je dois avoir dans mon bordel le texte du Gira en italien bien sur, si je le retrouve j'en parlerai, par la musique je comprends les paroles, c'est fort beau. Musique extraordinaire, trente personnes dans l'Église, William Christie était à ses débuts je lui ai causé.

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On pourrait imaginer qu'une chorégraphe soit la mieux placée pour monter cet "acte de ballet" où le chant et la danse se partagent la vedette. Au Théâtre Carré d'Amsterdam, le 13 juin, le résultat est, hélas, d'une indigence rare et constitue l'un des spectacles les plus affligeants qu'on ait vus depuis trente ans.

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