Faisons des gos, ils seront heureux
Faisons des gosses, ils seront heureux, la super société sociale qui s'installe s'occupera d'eux... Lire extrait d'article ci dessous. commentaire perso: la directrice il faut la flinguer. Contre la violence seule la violence est la bonne réponse.
Bon la compression d'outiloc est passée par la le texte s'est envolé il était bavard, et plein de vérités, à censurer au + vite.
Des jeunes apprenties sage femme au chu de belfort, humiliées, mal traitées, brimées, insultées n'osant rien dire avant l'obtention d'un diplôme.
Une jeune fille apprentie à reçu d'un médecin un coup de livre genre pages jaunes sur la tête, mais ou vat -on?
D'autres pleurent plusieurs fois par jour...
Quelle connerie, dans l'ancien temps les Femmes accouchaient en se d'emmerdant. Il y avait des sages femmes mais pas de diplômes, diplôme=dérive. Époque de merde
Le chômage voulu nous conduit droit à l'esclavage.
Lire ci dessous :
Quand tu ouvres la bouche, je t'exècre", "Cet été, il va faire beau, c'est l'occasion de faire du sport et de perdre des kilos", "J'ai connu d'autres Asiatiques qui avaient plus de caractère que vous", "Va falloir que je me la traîne toute la journée", "On se demande ce qu'elle fait ici celle-là"...
Ce genre de remarques humiliantes et blessantes, les étudiants sages-femmes de Besançon les subiraient régulièrement. A bout, en mars 2009, une trentaine d'élèves sur la centaine que compte l'établissement consignent par écrit de ce qu'ils vivent au quotidien, tant dans l'école que durant leurs stages à la maternité du CHU.
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Quinze font état de problèmes de santé ou de troubles du comportement. "J'étais devenue anorexique, boulimique et dépressive", raconte une étudiante aujourd'hui sortie de l'école. "J'ai arrêté pendant un an, c'était ma seule chance. Si j'étais restée, j'aurais dû me faire hospitaliser".
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