Feuilleton Lambert suite
Ci dessus portail d'entrée: Andrée a mis sa jupe de Femme de ménage pour balayer le trottoir, ramasser les papiers. Ensuite il a mis sa tenue de tailleur de pierres pour mettre de l'ordre a ce sous bassement qui demande une restauration et non une transformation en bordel. Puis pris son tournevis pour enlever le pano défense de stationner...Je le remplacerait bien par un pano défense de modifier le bâtiment... Remarquez les volets fer (comme pour un pavillon dans le 9-3) les enlever, trop difficile....
Lire ci dessous:
Une victoire significative, qui tient de celle de David contre Goliath.
Lors de l’audience du 8 septembre dernier au tribunal administratif, Maître Michel Huet, l’avocat de Paris Historique et Jean-François Cabestan, historien et critique d’architecture ont longuement tenu tête à la partie adverse coalisée. La situation de collusion entre le ministère de la Culture, le nouveau propriétaire et son architecte est éventée, mais on constate que les services juridiques de la Ville de Paris – celle-ci a pourtant manifesté à maintes reprises son hostilité au projet – ont cru devoir se ranger à leurs côtés.
Si certains médias affectent encore de minimiser ou d’ignorer le scandale patrimonial que représente la brutalité de cette rénovation, la suspension de l’autorisation ministérielle ordonnée le 15 septembre dernier par la juge des référés Brigitte Vidard signe sans équivoque l’irrecevabilité du feu vert inconsidérément hasardé. C’est la première manche gagnée de la procédure judiciaire intentée par Paris Historique. Une victoire significative, qui tient de celle de David contre Goliath.
À moins d’un recours devant le Conseil d’État d’ici au 30 septembre 2009 ou de la dépose par la SCI Lambert d’un nouveau dossier au ministère susceptible de donner lieu à une nouvelle autorisation, on attend désormais le jugement au fond du tribunal administratif. Il y a tout lieu de conserver bon espoir.
Lors de l’audience du 8 septembre dernier au tribunal administratif, Maître Michel Huet, l’avocat de Paris Historique et Jean-François Cabestan, historien et critique d’architecture ont longuement tenu tête à la partie adverse coalisée. La situation de collusion entre le ministère de la Culture, le nouveau propriétaire et son architecte est éventée, mais on constate que les services juridiques de la Ville de Paris – celle-ci a pourtant manifesté à maintes reprises son hostilité au projet – ont cru devoir se ranger à leurs côtés.
Si certains médias affectent encore de minimiser ou d’ignorer le scandale patrimonial que représente la brutalité de cette rénovation, la suspension de l’autorisation ministérielle ordonnée le 15 septembre dernier par la juge des référés Brigitte Vidard signe sans équivoque l’irrecevabilité du feu vert inconsidérément hasardé. C’est la première manche gagnée de la procédure judiciaire intentée par Paris Historique. Une victoire significative, qui tient de celle de David contre Goliath.
À moins d’un recours devant le Conseil d’État d’ici au 30 septembre 2009 ou de la dépose par la SCI Lambert d’un nouveau dossier au ministère susceptible de donner lieu à une nouvelle autorisation, on attend désormais le jugement au fond du tribunal administratif. Il y a tout lieu de conserver bon espoir.
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